Téléportavion

Publié le par Tite zoreille

Et voilà, magie de la téléportation aérienne, nous avons avalé quelque 10 000 km en un peu plus de 11 heures. Plus quelques heures éparpillées dans les aéroports de Brest et de Paris, l’enregistrement des bagages « hors normes », les retards liés aux perturbations météorologiques, etc.

Selfie au bout de la nuit...

Selfie au bout de la nuit...

Bonne nouvelle, nous avons survécu à l’épreuve du vol long-courrier avec un bébé modèle sonore et agité, même si, à certains moments, nous avons eu comme un avant-goût de l’enfer version lilliputienne : une nuit entière passée à essayer de (re)coucher bébé dans son « berceau » aéroporté (petite boîte à chaussures, accrochée à une cloison de l’appareil, ne dépassant pas les 70 cm de longueur pour un diablotin qui en mesure 76). Et elle, se relevant subitement de sa nacelle tel un Dracula miniature jaillissant de son tombeau, l’œil hagard et les cheveux hirsutes, avec la ferme intention de réveiller tout l’avion. Autant dire qu’on ne s’est pas fait que des amis… Au fil de cette longue nuit au bout de la patience parentale, j'ai rêvé de compagnies aériennes recrutant des hôtesses puéricultrices qui animeraient une crèche miniature entre le stock de plateaux repas et les toilettes...

Bébé a fini par dormir… quelques minutes.

Bébé a fini par dormir… quelques minutes.

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